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Eric Joseph Christmas

Eric Christ­mas a con­sacré la total­ité de sa car­rière pro­fes­sion­nelle à l’a­vance­ment de com­mu­nautés, d’en­tre­pris­es et d’in­sti­tu­tions autochtones en menant à bien dif­férents man­dats dans les secteurs privé et public.

En 2011, M. Christ­mas a guidé les efforts déployés pour éla­bor­er et met­tre en œuvre la Stratégie mi’kmaq en matière d’énergies renou­ve­lables. En plus d’avoir dirigé les équipes chargées d’élaborer un plan d’in­vestisse­ment et d’ef­fi­cac­ité énergé­tiques pour les Mi’k­maq néo-écos­sais par l’en­trem­ise de l’Assem­blée des chefs mi’k­maq de la Nou­velle-Écosse, M. Christ­mas a obtenu et fourni les cap­i­taux nécessaires.

La Stratégie mi’k­maq en matière d’én­er­gies renou­ve­lables a don­né lieu à la con­struc­tion de deux grands parcs éoliens pour les Mi’k­maq de la Nou­velle-Écosse, des infra­struc­tures qui sont main­tenant en ser­vice. M. Christ­mas s’est impliqué dans le domaine énergé­tique à plusieurs titres, en dirigeant l’équipe de con­cep­tion et de mise en œuvre d’un impor­tant pro­jet d’ef­fi­cac­ité énergé­tique pour les 13 com­mu­nautés Mi’k­maq. En 2012, il a égale­ment piloté l’équipe chargée de lancer une société de développe­ment com­mu­nau­taire mi’k­maq, Beaubassin Wind Ener­gy Man­age­ment Ltd.

M. Christ­mas pos­sède une vaste expéri­ence dans le domaine du développe­ment des affaires. Il a notam­ment tra­vail­lé auprès des Pre­mières Nations de Mem­ber­tou (directeur des affaires générales) et de Wag­mat­cook (directeur général), pour le Cen­tre nation­al pour la gou­ver­nance des Pre­mières Nations (con­seiller en gou­ver­nance) et chez Exxon-Mobil Cana­da (agent de liai­son autochtone).

Man­dats en cours

Actuelle­ment, M. Christ­mas pour­suit dif­férents man­dats auprès de Big­Moon Ener­gy, de la Pre­mière Nation de Pic­tou Land­ing et de la Pre­mière Nation de Tobique.

Chez Big­Moon Ener­gy, une entre­prise qui cherche à dévelop­per l’én­ergie maré­motrice en Nou­velle-Écosse et à l’é­tranger, M. Christ­mas s’emploie à con­cevoir un proces­sus de trans­fert de la tech­nolo­gie et de com­mer­cial­i­sa­tion spé­ci­fique aux Pre­mières Nations dans l’in­dus­trie de l’énergie maré­motrice néo-écossaise.

Auprès de la Pre­mière Nation de Tobique, M. Christ­mas s’occupe de restruc­tur­er le pro­gramme de pêche et d’ac­qui­si­tion com­mer­ciale (notam­ment d’activités d’aqua­cul­ture) de la bande et de remanier la for­ma­tion à la pêche grâce à la réal­ité virtuelle (Vir­tu­al Nation).

Auprès de la Pre­mière Nation de Pic­tou Land­ing, c’est une société de développe­ment que M. Christ­mas s’emploie à créer. Dans le cadre de ce man­dat, il veille à la sélec­tion d’un con­seil d’ad­min­is­tra­tion, à la mise en place d’une agence de place­ment tem­po­raire mi’k­maq, à l’élaboration de parte­nar­i­ats pour l’assainissement et la ges­tion des ter­res de Boat Har­bour et à la créa­tion d’une entre­prise de maisons mod­u­laires des­tinées aux Pre­mières Nations.

Entre­pre­neuri­at : À l’heure actuelle, M. Christ­mas s’emploie à met­tre sur pied une entre­prise de réal­ité virtuelle (Vir­tu­al Nation) qui vise, à long terme, le développe­ment des com­pé­tences et des capac­ités en matière de com­merce et d’affaires des Pre­mières nations. Il est égale­ment pro­prié­taire d’un marché agri­cole à Syd­ney et pos­sé­dait jusqu’à tout récem­ment un restau­rant à Cole Har­bour (ven­du en avril 2017).

« J’ai accep­té de siéger au con­seil de Savoir­Sphère parce l’oc­ca­sion qui m’est don­née est fab­uleuse : tra­vailler avec un organ­isme à but non lucratif qui agit et fonc­tionne comme une entre­prise à but lucratif et qui sou­tient les PME. Savoir­Sphère s’appuie véri­ta­ble­ment sur l’e­sprit et les com­pé­tences entre­pre­neuri­ales des mem­bres de son con­seil. Je suis vrai­ment ent­hou­si­aste à l’idée de jouer un rôle dans la réus­site soutenue de cet organ­isme. J’ap­porte à Savoir­Sphère une expéri­ence et un savoir-faire uniques en ce sens qu’ils relèvent prin­ci­pale­ment du développe­ment des affaires dans les com­mu­nautés des Pre­mières Nations. D’après moi, mon rôle con­sis­tera à accroître le ray­on­nement de Savoir­Sphère dans le milieu autochtone et, peut-être un jour, à y repro­duire ce modèle. »

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